KYRIE KRISTMANSON
Lady Lightly
"Lady Lightly" nouvel album de Kyrie Kristmanson, sortie le 10 janvier 2020 sur Iki Records !
Kyrie Kristmanson développe un univers kaléidoscopique, une émanation musicale emprunte de sonorités pop, électro, médiévales… un mélange singulier de très vieilles énergies avec un regard enchanteur sur le présent.
Son premier album, Origin of Stars, explore les vibrations du passé des terres du Grand Nord canadien qui l’ont vue grandir. Composé au Canada est sorti mondialement chez NØ FØRMAT!/Universal France en 2010. La tournée qui suivra l’amènera jusqu’en Europe et dans le Sud de la France où, intriguée par l’histoire portée par les pierres, elle visite les ruines des châteaux médiévaux.
Ces vestiges médiévaux, anciennes demeures d’une noblesse Occitane, l’inciteront à retracer le répertoire lacunaire des premières compositrices : les trobairitz. Après avoir complété une thèse à leur sujet à la Sorbonne, c’est en prenant la liberté de s’approprier ces poèmes d’amour profane qu’elle compose un second opus : Modern Ruin. Arrangé pour quatuor à corde et voix par Clément Ducol et co-réalisé par Maxime le Guil cette extrapolation fantastique de ces chants perdus est sortie chez Naïve en février 2015.
Avec son nouvel album "Lady Lightly", Kyrie Kristmanson s’interroge sur l’hypothèse d’une tradition musicale venue d’un monde parallèle.
En utilisant des instruments inventés ou préparés ainsi que des « samples », l’album évoque une réalité où le hip-hop aurait côtoyé le folk, où des traditions chamaniques se seraient développées aux côtés de la musique baroque, où le bruit blanc du cosmos serait joué comme instrument à part entière, où les machines seraient organiques.
Réalisé avec Saint Michel dans une aile abandonnée du Château de Versailles, l’album s’imprègne de ce cadre mystérieux pour développer un langage inédit. Le résultat musical de ce questionnement est une sorte de folk-cosmique qui semblerait avoir voyagé des années lumières à travers des cieux stellaires, des sons à la fois terrestres et célestes, nous rappelant que notre réalité, lorsqu'on l'observe de près, est infiniment multiple.