GUADAL TEJAZ
Noche Triste
Nouvel album “Noche Triste” de GUADAL TEJAZ sortie le 15 Octobre 2022 chez Crème Brulée Records & Beast Records !
Après la sortie en indé en 2019 d’un excellent premier disque intitulé « Cóatlipoca », le groupe breton Guadal Tejaz poursuit brillamment ses pérégrinations en contrées post punk, psyché & kraut rock avec la publication en octobre 2022 d’un très percutant deuxième album nommé « Noche Triste », via Crème Brûlée Records (crémerie locale de qualité) et avec l’aide de La Nef D Fous (l’asso qui organise le génial Binic Folks Blues Festival) et de Beast Records (renommé label indépendant de garage and blues). Depuis leurs débuts, les très soudés et remontés à bloc Coco (guitare et basse), Hugo (batterie et boite à rythmes), Morgan (chant et guitare) et Théo (basse et synthé Korg MS-20) sont capables de retourner n’importe quel public, comme celui de Binic par deux fois, en 2019 et 2021, ou la foule des Trans Musicales de Rennes fin 2021. Leur secret pour réaliser ce tour de force ? Des morceaux hyper bien foutus joués et chantés avec toute l’intensité requise, comme sur leur tube qui tue sa race « Mercedeath ». Partant de ces très bonnes bases, le combo basé à Rennes a décidé de muscler son jeu (s’il était possible de le faire) en s’orientant vers des textures plus krautrock, post punk et électro. Ce qui permet d’obtenir un mélange encore plus explosif, tranchant et efficace, car les saturations du punk et du kraut sont désormais synthétisées à merveille avec le son plus percussif des boites à rythmes. Les Guadal Tejaz peuvent être fiers du résultat puisque « Noche Triste » est une véritable perle punk kraut qui s’avale d’un trait (comme un shot de tequila), et qu’on a envie de se remettre très rapidement entre les oreilles. Outre une volée de titres extrêmement vrillants et dansants (façon craquage sous trip, pogo ou danse épileptique à la Ian Curtis), cet album qui leur permet clairement de passer un cran au dessus comporte un tube au nom foutrement bien trouvé et évocateur, « Krautoxic ». Un morceau qui tient toutes les promesses de son titre, car le mix entre un kraut synthétique ultra remuant et un chant de stentor punk (à la Joy Division / Warsaw / Frustration) rend particulièrement accro. N’oublions pas la guitare wah-wah qui claque sévère, pour jeter encore un peu plus d’huile sur le feu. Attention, Guadal Tejaz s’apprête à déferler sur toutes les salles de concert et les festivals que compte notre beau pays. Et ça risque de faire mal, très mal !